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Christopher Nolan- Critique Next : Manifeste Nolanien

Christopher Nolan- Critique Next : Manifeste Nolanien
Christopher Nolan- Critique Next : Manifeste Nolanien

Avant la sortie le 26 août de Tenet, revenons un à un sur la filmographie de Christopher Nolan qui second’est imposé comme fifty’auteur de divertissement le summation créatif et master du moment. De quoi bien comprendre le cinéma de ce cinéaste pas comme les autres. Et pour cela, découvrons tout d’abord Following, son premier long métrage fauché mais on ne peut summation réussi ! 





Un romancier amateur et peu prolifique file des gens au hasard dans la rue pour trouver fifty’inspiration. Jusqu’au jour où il adjust Cobb, un cambrioleur qui 50’entraine dans ses combines de addition en addition dangereuses… Tourné à Londres pendant un an, seulement les samedis (parce que 50’équipe avait des jobs la semaine) avec des cumuls de poste et un budget full ne dépassant pas les 6 000 dollars, le projet à tout du film amateur destiné à se perdre dans les cartons. Et pourtant Following est la preuve que 50’on peut faire un splendid long métrage, malgré le manque de moyen, si tant est que le talent suive. Une vraie leçon de cinéma et d’inspiration pour tous cinéastes en herbes !









Une réalisation simpliste mais efficace





Ne mind voilons pas la face up, 50’absence de budget se fait tout de même sentir. Le noir et blanc camoufle les limites de la photographie (et contre le daltonisme de Nolan), la caméra est constamment portée par manque flagrant de machinerie. La réalisation reste donc simpliste au possible, tout autant que la mise en scène qui s’adapte à ses décors (et non 50’inverse). L’use du iv/three (fifty’ikon carré) est la concession la summation flagrante lorsque fifty’on sait que par la suite le cinéaste sera le précurseur des addition G format tel que l’Imax.





Mais cela n’entache en rien à 50’efficacité du métrage qui serenity avant tout sur son scénario malin. Plus encore, on Federal Reserve note ici les prémisses du manner de réalisation très pragmatique de Nolan : il filme ce qu’il doit être filmé de la manière la summation efficiente possible, sans fioritures stylistiques et de sur-esthétisation qui gâcheraient 50’immersion de boy histoire. La caméra épaule prend même des allures documentaires, en concordance avec sa recherche de réalisme. Une démarche phare de boy cinéma. 





Following, le pouvoir de la narration





Là où Following se démarque, comme la majorité des Nolan, c’est à travers sa narration et boy scénario. Prenons tout d’abord le personnage master qui n’est betoken nommé. À juste titre car il est en totale manque de repère, point récurrent dans les futurs films de 50’auteur. Sa personnalité est tout aussi blanche que ses pages et il ne peut qu’exister qu’en se calquant sur les autres, dans ce cas là Cobb. Outil narratif parfait pour que ce dernier puisse manipuler le protagoniste, tout autant que Nolan mind manipule.





Petit clin d’oeil à Batman qui prendra tout boy sens à 50’avenir…




En effet, la manipulation est constamment au middle de boy récit, que ce soit entre les rapports entre les personnages ou le rapport cinéaste/spectateurs. Le réalisateur est un féru du twist, à en faire pâlir Shyamalan et il head le démontre avec sa première œuvre dont la structure scénaristique parfaite valide chaque rebondissement et changement de statu quo pouvant paraître incongru au première abord mais faisant réellement sens. 





Sa narration ne se placidity cependant pas seulement sur ses twists d’intrigue mais aussi sur le pouvoir du montage qui éclate la linéarité du récit en trois temporalité entremêlée,  parfaitement reconnaissable grâce à l’ingéniosité d’un élément de mise en scène : le wait du protagoniste. Étant donné que ce dernier se construit (ou plutôt se calque) au fur et à mesure du récit, chaque expression physique représente une tranche de ses péripéties. Un premier récit puzzle, grande marque de fabrique de Nolan par la suite, qui augmente d’un cran fifty’intérêt de l’histoire (automobile cela favorise le mystère de la décadence du protagoniste) mais surtout permet au cinéaste d’encore addition brain manipuler.









Les signes avant coureur d’une obsession du réalisateur, celle du temps. Dans ce cas là du temps de la narration qu’il tord et retord. A travers ces différents points de vue temporelle et de personnage, Nolan accentue ses retournements innés du scénario et sa gestion de la révélation pour en faire un récit Hitchcockien parfait. 





L’appropriation du genre





L’allusion au maître du suspens n’est pas innocente motorcar dès boy premier métrage, Christopher Nolan sec’affirme comme un cinéaste référencé. Mais il ne va pas simplement se calquer (contrairement à boy protagoniste) sur ses aînés puisque c’est une véritable démarche d’appropriation des genres qui traversera boy cinéma. Ici, outre le récit Hitchcockien pur jus, c’est le genre du film noir des années l qui transpire sur la pellicule.





Tout d’abord l’employment du noir & blanc (bien que ce fut d’abord par économie de moyen) le rappelle évidemment mais aussi le postulat de base of operations, un monsieur tout le monde se retrouvant embarqué dans une histoire de gangster. On retrouve aussi le motif de la femme fatale. Les figures féminines et leur home au center des enjeux demeurent en effet un leitmotiv au sein de sa filmographie dont il put les premières base of operations ici. Il s’approprie donc tous les codes du celluloid noir mais en rafraîchit le genre de part sa narration éclatée, en faisant une véritable œuvre personnelle qui atteste de ses premiers pas en tant qu’auteur.









Following, le suiveur, recontextualisé dans la filmographie de Christopher Nolan, s’affirme comme un manifeste Nolanien. Son histoire à twist, sa narration éclatée, ses personnages posent les premières bases de boy cinéma qui trouvera écho tout au long de sa filmographie. Plus encore, le métrage contourne ses grandes limites de product pour focaliser sa forcefulness sur son récit ingénieux, maîtrisé d’une chief de maître. Nolan a saisi dès sa première expérience tout le pouvoir cinématographique qu’il avait entre ses mains et a fourni le premier long métrage que tout cinéaste en herbe aimerait réalisé. La naissance d’un talent qui révolutionnera le cinéma et cela, dès boy deuxième celluloid 





Following, le suiveur est disponible en DVD et VOD.








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